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Marie Pidancet, fondatrice et directrice artistique de Louise Misha, se prête au jeu du portrait chinois et partage ici quelques mots choisis, reflets de ses inspirations et de son univers délicat et sensible.

Si tu étais…

…un voyage ?

L’Inde occupe une place particulière dans mon cœur. J’ai la chance de m’y rendre régulièrement, et j’y cultive mon amour des fleurs et de la couleur, si présents et significatifs dans la culture locale. Sans oublier les savoir-faire uniques de ce pays, que nous valorisons dans nos collections, notamment à travers nos collaborations avec Saheli Women, véritables hommages à l’artisanat.


…une rencontre ?

Celle avec Claire ! Dès notre rencontre à 12 ans, nous avons tissé un lien fort. C’est une chance de rester si proches après toutes ces années, et encore plus d’avoir une amie comme associée !

Nous racontons d’ailleurs notre rencontre et notre collaboration dans un épisode de podcast, à retrouver ici.


…une figure inspirante au féminin ?

Sans hésiter, mon arrière-grand-mère Louise, celle qui a donné son nom à notre Maison. Artiste passionnée de théâtre itinérant, elle a parcouru le monde – de la Russie à l’Égypte, en passant par l’Angleterre – vivant de son art, suivant ses passions et ses amours. Une femme libre, audacieuse et profondément inspirante, dont l’histoire m’a profondément marquée et dont l’esprit bohème continue de se refléter dans l’univers de Louise Misha.

…un lieu de travail ?

Celui que nous occupons actuellement : une maison avec jardin et surtout beaucoup de cachet, le cadre rêvé pour Louise Misha.


…une passion ?

Très jeune déjà, j’étais fascinée par la couleur. Mon père était passionné par la peinture. Il m’a fait découvrir les œuvres de nombreux artistes qui restent, encore aujourd’hui, de véritables références pour moi : Matisse, Schiele ou encore Van Dongen. J’aime m’entourer de couleurs, qu’il s’agisse de vêtements ou de décoration. Je ressens leur impact sur l’humeur : elles enchantent le quotidien.

…un mantra ?

Mon mantra est que tout est possible et qu’il ne faut jamais se mettre de limites.


…un souvenir d’enfance ?

Je me souviens que, petite, je passais des heures à imaginer des vêtements et à les créer en papier. C’est un souvenir qui m’est cher, parce qu’au fond, Louise Misha, c’est un rêve d’enfance devenu réalité.